La phrase complexe |
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Principe
1 :
autant de propositions que de verbes conjugués. Principe
2 :
autant de mots subordonnants que de subordonnées. Principe
3 :
si subordonnée il y a, principale aussi. Principe
4 :
le mot subordonnant commence la subordonnée. Principe
5 :
le type de mot subordonnant entraîne le type de subordonnée. Principe 6 : il existe 3 types de mots subordonnants. Principe 7 : pour les
reconnaître, il suffit d’un peu d’attention (à suivre) Comment reconnaître les mots subordonnants ?- un pronom relatif est un pronom = il reprend un nom déjà cité (généralement juste avant) qu’on appelle un antécédent. Je refais la leçon que
vous n’avez pas écoutée : que
= la leçon C’est lui, l’élève
qui n’a pas écouté : qui
= l’élève C’est
la classe dont on dit
beaucoup de mal :
dont = de
la classe - un mot interrogatif suppose une question
indirecte : il suit un verbe lui-même interrogatif (se
demander, ne pas savoir…). Quelle leçon est à apprendre ? Je ne sais pas. Combien d’élèves ont travaillé ? Dites-le moi. Qui lira ce polycop jusqu’au bout ? Je me le demande. Remarque : la proposition
subordonnée interrogative est toujours complétive =
complément d’objet Je ne sais pas quelque chose quelle leçon est à apprendre. Dites-moi quelque chose combien d’élèves ont travaillé. - une conjonction de subordination
(quand, si, comme, que, lorsque, puisque…) accompagne
généralement un verbe (non interrogatif) ; si c’est
une locution, elle comprend QUE (bien que, depuis que, pour que, en
attendant que, à condition que…) Vous
travaillez depuis que la
date du conseil est connue |